ZOOZ – Bipolaire et solaire, entre ciel gris et punchlines claires

Y’a des rappeurs qui suivent la vibe. Et y’a ceux qui la sculptent. ZOOZ, c’est pas un produit algorithmique. C’est une faille. Un souffle. Une lumière sombre qui raconte la vie comme elle est : crue, belle, paradoxale.

Né en 1997, élevé entre les notes de guitare et les chœurs d’enfant, ZOOZ est un artisan de l’émotion. Le gars commence tôt : musique à 4 ans, compo à 16. Et très vite, les mots deviennent des armes, des boussoles, des échos. Le rap, chez lui, ce n’est pas une posture. C’est une thérapie. Une confession. Un cri lucide.

📀 L’un dépendance en 2018. Intouchable en 2024. Et puis ce sismographe émotionnel qu’il balance en pleine face : BIPOLAIRE, son album vérité. Douze titres comme douze humeurs. Des textes taillés au scalpel, où se croisent les ombres de la dépression et la lumière du dépassement. C’est Aznavour qui prend le métro B avec Nekfeu. C’est brut, c’est beau, c’est vécu.

🎙️ En live, ZOOZ casse les codes. Il monte sur scène avec des musiciens, pas pour faire genre, mais parce que le son, il le veut vivant. Organique. Vibrant. Du sang et des cordes. Ses concerts ? Des traversées. T’as pas l’impression de l’écouter. Tu le ressens.

ZOOZ, c’est le type d’artiste que t’oublies pas.

Pas parce qu’il hurle plus fort. Parce qu’il parle vrai. Et que ça touche juste.