Par le regard noir et brûlant d’un disciple du rock :

Il existe parfois des groupes qui ne demandent pas la lumière.

Ils l’absorbent.

TSAR, c’est ce genre de formation. De celles qui ne montent pas sur scène pour jouer, mais pour régner. Quatuor incandescent forgé à la croisée du metal tribal, du rock de cathédrale et de la transe mystique, TSAR n’est pas un groupe. TSAR est un Empire.

Nés de cendres et de silences, les quatre apôtres du Baron n’ont pas choisi la facilité ni la radio tiède. Ils ont choisi la voix du chaos. Celle où les guitares hurlent comme des peuples oubliés, où les batteries martèlent comme des portes de palais renversés, où chaque morceau est un manifeste.

Un appel à la dévotion.

Leur public ? Des adeptes.

Leur message ? Une renaissance.

Leur scène ? Un autel.

TSAR ne fait pas du rock. Ils organisent des cérémonies.

À chaque concert, c’est un monde qui vacille.

À chaque riff, c’est l’ancien régime qui cède.

Ils sont passés par les souterrains (Châtel Bands-Camp 2025, laboratoire d’insurrection sonore),

Ils ont grandi dans l’ombre des croix de feu,

Et aujourd’hui, ils montent à Clisson, HellFest 2025, pour prendre le trône.

TSAR ne vous demande pas si vous êtes prêts.

TSAR vous attend.

À genoux, ou en transe.

Mais présents.