HEADKEYZ – La rage au bout des cordes

Il y a des groupes qui jouent. Et il y a HEADKEYZ.

Eux ne jouent pas. Ils explosent.

Depuis leur caverne sonique quelque part entre les échos de Seattle et les pavés brûlants d’un Paris underground, HEADKEYZ crache un rock nerveux, crasseux, viscéral. Adrien, alias Edge, chante comme on hurle pour survivre. Chaque mot suinte la colère retenue, chaque riff est une claque, chaque break une chute libre. On pense à Nirvana, à Deftones, à Nothing But Thieves… mais HEADKEYZ, c’est surtout HEADKEYZ : une bête vivante, sauvage, incontrôlable.

Pendant des années, ils ont tout fait seuls. Sans plan, sans filtre, sans compromis. Un label artisanal tenu à bout de bras par la mère du chanteur, des concerts à s’arracher les tripes, et une foi indestructible en un seul truc : la musique comme acte de résistance.

Puis 2024 arrive. Le groupe entre chez Bands-Camp, l’accélérateur d’artistes qui sent la sueur, le live et le professionnalisme bien trempé. Et là, BOUM : HEADKEYZ signe chez Rage Tour, enregistre un deuxième album d’une puissance tellurique, et balance “INTOXICATED”, un clip comme un uppercut en pleine gorge. À la croisée du chaos et de la précision chirurgicale.

HEADKEYZ, c’est le cri de ceux qui refusent de baisser les bras.

C’est le son d’un groupe qui vit pour sa musique, qui joue comme si chaque concert était le dernier.

Et si vous pensez encore que le rock est mort… venez les voir sur scène.

Ils sont là. Ils hurlent. Et ils ne s’excuseront jamais.